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Redynamisation de la filière arboricole dans le Haut pays

10 Rue des Arbousiers, 06510 Carros, France

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Coopération Régionale : Défi Foyer À Alimentation Positive

Avenue de la Gare, 84360 Lauris, France

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Valoriser la laine locale – Laine Rebelle

22 Av. Georges Clemenceau, 06220 Vallauris, France

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Accompagnement de l’essor des brasseries artisanales valorisant les ressources locales

12 Boulevard Frédéric Mistral, 11100 Narbonne, France

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Elaboration de la stratégie de commercialisation et du plan de communication de la filière Baron des Cévennes

Alès, France

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Les weekends à la ferme

Noyon, France

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Le Cabas de St-Bonnet, une épicerie associative à St-Bonnet-Briance

Le Bourg, Saint-Bonnet-Briance, France

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« De la Terre à l’Assiette » – Etude de faisabilité -Légumerie et restaurant scolaire « Bon et Local »

4 avenue de l’Europe. ZA La Plaine 34830 CLAPIERS

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Animation coordination de la plateforme d’approvisionnement locale de la restauration collective brenne /castelroussin

Maison du Parc, Le Bouchet, 36300 Rosnay, France

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Université des sciences et pratiques gastronomiques

1 allée Monseigneur Jean René Calloc’h 29000 Quimper

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Guide pour porteur de projet en circuits-courts

Place de la libération, les mureaux

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Cand’épicerie

Rue des Cèdres, 41120 Candé-sur-Beuvron, France

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Projet POSCIF – « Pâturage Ovin dans les Systèmes Céréaliers d’Ile-de-France »

Ce projet s’intéresse au pâturage ovin des engrais verts, et des cultures de blé d’hiver et de colza, pour améliorer la fertilisation naturelle des champs et remplacer le tracteur et la chimie par les brebis pour détruire les engrais verts. Des expérimentations sont menées avec les agriculteurs pour démontrer la faisabilité et pallier aux manques de connaissances et de savoir-faire spécifiques. Sont notamment étudiés scientifiquement : les impacts agronomiques et environnementaux du couplage entre parcelles de grandes cultures et pastoralisme ovin, les performances de l’élevage en termes de production, d’organisation du travail et de bien-être animal et des scénarios d’adoption de ces pratiques à plus large échelle sur un territoire pour adapter les politiques publiques d’accompagnement. Les objectifs techniques, directement à destination des agriculteurs, sont l’acquisition de références sur les modes de gestion du pâturage et l’identification des intérêts et des limites de ces pratiques.

Redynamisation de la filière arboricole dans le Haut pays

En s’inspirant de l’initiative voisine, un éleveur arboriculteur du haut-pays maralpin entreprend à partir de 2016, d’organiser des ateliers de taille, greffe, de sensibiliser les écoliers à la diversité des variétés et fait venir le pressoir mobile de l’association Fruits d’Avenirs (05) lors de journées festives où professionnels et particuliers arrivent avec leur récolte de pommes et poires et repartent avec des bouteilles de jus !

Coopération Régionale : Défi Foyer À Alimentation Positive

Le défi Foyers À Alimentation Positive accompagne des familles dans l’évolution de leurs habitudes alimentaires en apportant des outils pour manger bio, local et de saison sans impacter leur budget. Construits avec les participants, ces ateliers sont de vrais moments de convivialité, de lien social et d’apprentissage collectif. C'est donc un travail de sensibilisation auprès de 180 foyers, mais aussi d'éducation populaire auprès de personnes pouvant être éloignées de l’alimentation bio, locale et de saison.

Valoriser la laine locale – Laine Rebelle

L'objectif de Laine Rebelle est d'amorcer la structuration de la filière laine sur le territoire du Parc Naturel Régional des Préalpes d'Azur (PNR) à travers la valorisation des races locales de brebis en : - Achetant aux éleveurs de la laine choisie par nos soins sur les chantiers de tonte afin de la faire transformer dans les circuits existants au plus proche, - Fabriquant dans notre atelier des vêtements/accessoires en laine ainsi qu'en vendant le fil en écheveaux et pelotes, - Animant des ateliers et visite autour de la laine sur le territoire

Accompagnement de l’essor des brasseries artisanales valorisant les ressources locales

Ce projet de coopération a permis de rassembler, sur des territoires différents, une multitude d’acteurs liés à la filière brassicole autour d’une problématique commune : Brasseurs, houblonniers, producteurs d'orge brassicole, coopératives, malteurs, distributeurs, chercheurs, techniciens et animateurs ou techniciens de la filière ont ainsi travaillé à l’émergence d’une filière locale et à trouver des solutions pour relancer la production de matière première en Région. Aujourd’hui, la dynamique autour de la filière est lancée : de premières actions ont vu le jour. Un « GIEE Houblons d’Occitanie » a été créé en 2020, plusieurs formations ont été organisées, et une seconde journée régionale servant de bilan des deux dernières années est organisée en novembre 2021 par les acteurs de la bio.

Elaboration de la stratégie de commercialisation et du plan de communication de la filière Baron des Cévennes

L'association a sollicité LEADER pour financer les actions nécessaires au développement et à la visibilité de la filière ; ainsi qu’à la commercialisation des premiers produits « Baron des Cévennes ». Il était important pour l’association de déterminer la stratégie de commercialisation, son positionnement, la segmentation et les axes prioritaires de vente. Les éleveurs se sont également entendus pour définir avec un graphiste l’univers graphique de la marque et la création d’un site internet marchand. Enfin, il était indispensable que chaque éleveur vende les produits « Baron des Cévennes » sous le même packaging. C’est pourquoi une entreprise a été sollicitée pour réaliser les outils marketing tels que les étiquettes, le catalogue et les roll-up et panneaux pour les salons ou foires. Ainsi la stratégie claire et définie du positionnement commercial a permis au groupe de producteurs d’entrer dans une démarche de commercialisation commune et d’accélérer la prospection afin de valoriser la filière. L’ambition de l’association est d’atteindre 1000 porcs /an, de continuer le rythme de production et de maintenir le poste à mi-temps de l’animatrice de l’association. Après plusieurs années de travail, les éleveurs proposent aujourd’hui aux consommateurs des produits de haute qualité en circuit court issus d’élevages durables, respectant le bien-être animal, l’environnement, et la santé humaine.

Les weekends à la ferme

Action n°1 : Sensibilisation à une alimentation saine et locale auprès des habitants du territoire et de publics défavorisés Pour sensibiliser les habitants du territoire et les publics défavorisés à une alimentation saine et locale, le territoire a organisé une série d’événements et d’animations : - Création et diffusion d’outils de communication auprès des habitants du territoire afin de les inciter à consommer des produits locaux (carte des producteurs, campagne de communication, visuel valorisant les commerces qui s’approvisionnent régulièrement en produits locaux…). - Organisation d’événements grand public du type fermes ouvertes, ferme en ville, marches gourmandes, et soutien aux manifestations existantes (fête du potiron, fête des fruits rouges) pour valoriser les productions locales et favoriser les rencontres entre les agriculteurs et les consommateurs (urbains). Les scolaires et les familles des centres sociaux seront associés à la préparation et l’animation de ces événements. - Création d’un 1er jardin partagé et intergénérationnel sur Guiscard à l’initiative de la commune et du centre social, impliquant les publics du centre social, des centres de loisirs et maisons de retraite du territoire pour les inciter à jardiner, s’initier au maraîchage et aux cultures raisonnées, transmettre ou acquérir des savoirs, échanger, manger sainement, cuisiner (cours de cuisine avec les légumes récoltés), éviter le gaspillage alimentaire… - Animations pédagogiques auprès des scolaires, des centres de loisirs et des familles des centres sociaux : initiation au maraîchage, sensibilisation aux produits locaux et issus de l’agriculture biologique, éducation alimentaire, lutte contre le gaspillage alimentaire… Action n°2 : Développement des productions identitaires du territoire Pour sauvegarder la production de fruits rouges qui fait partie intégrante de l’identité du territoire et répondre à la demande locale en produits maraîchers (issus de l’agriculture biologique), le territoire a mis en place un partenariat public-privé innovant : - Le lycée horticole de Ribécourt assurera la formation des futurs producteurs et le lancement de leur activité grâce à une ferme expérimentale ; - Les communes seront sollicitées pour le recensement de terrains disponibles pour installer les maraîchers et producteurs de fruits rouges ; - Les maraîchers et producteurs en place (et proches de la retraite pour beaucoup) seront sollicités pour assurer la transmission de leur savoir-faire auprès des jeunes et personnes en reconversion professionnelle qui voudront s’installer sur le territoire ; - Une étude de faisabilité économique sera lancée autour de la transformation des fruits et des légumes avec, si possible, une dimension sociale et solidaire. Le territoire souhaite développer en parallèle une approche marketing avec la création d’un label « fruits rouges », de produits dérivés, de vitrines thématiques des offices de tourisme consacrées à ces produits, le développement de la Fête des fruits rouges et de circuits touristiques thématiques… Action n° 3 : Création d’outils de commercialisation innovants pour développer les débouchés commerciaux Plusieurs actions sont envisagées pour initier des démarches de ventes collectives sur le territoire et développer la commercialisation de produits locaux auprès des habitants et des professionnels. - Le Pays et le lycée horticole de Ribécourt souhaitent étudier la faisabilité économique d’un Drive fermier destiné aux particuliers et aux professionnels. - Pour permettre aux personnes peu mobiles et aux restaurateurs de s’approvisionner en produits locaux, une épicerie mobile à dimension sociale et solidaire sera également mise en place. - Des paniers seront proposés aux personnels de collectivités puis d’entreprises du territoire. - Pour faciliter les démarches partenariales entre agriculteurs et restaurateurs ou agro-industriels, des rencontres sous forme de job-dating ou visites d’industries/d’exploitations suivies d’un échange seront également organisées.

Le Cabas de St-Bonnet, une épicerie associative à St-Bonnet-Briance

Pour faire face à la difficulté d’implanter une activité d’épicerie « classique » sur la commune, un groupe d’habitants a porté un projet d’épicerie associative, inspirée de rencontres d’autres expériences dans des communes voisines. De la fermeture de la dernière épicerie de la commune en 2014 à l’ouverture de l’épicerie-associative le 30 septembre 2016, c’est avec une « méthodologie partenariale » que le projet a été mené. Cette méthodologie a été appuyée par un portage politique fort, dans toutes les étapes du projet. Une enquête a été faite auprès des habitants, pour connaitre leurs habitudes et attentes de consommation sur les produits alimentaires. Un groupe d’habitants et l’équipe municipale ont organisé des réunions publiques pour imaginer les réponses à apporter. Certains d’entre eux sont allés visiter des expériences et en ont fait la restitution, jusqu’à trouver leur propre modèle d’épicerie. Aujourd’hui, c’est une vingtaine de producteurs locaux et une quinzaine de bénévoles actifs qui font fonctionner l’épicerie. Au-delà du service qu’elle propose, l’épicerie est aussi un lieu de rencontres et porte des évènements. Ouverte deux fois par semaine, le mercredi et le dimanche, et à l’occasion d’événements festifs organisés par l’association, près d’une centaine d’adhérents y viennent régulièrement. Ce projet a permis de répondre aux enjeux de ce bourg à très faible densité commerciale. Rouvrir une épicerie pérenne et viable a imposé de « changer de modèle ». Il a été fait le pari de la forme associative, sans salarié, le choix de travailler en circuits courts et aussi de réduire et adapter les horaires d’ouverture à la demande des habitants. Public cible : - Habitants

« De la Terre à l’Assiette » – Etude de faisabilité -Légumerie et restaurant scolaire « Bon et Local »

L’alimentation a été déclarée « grande cause régionale 2018/2019 » par la Région Occitanie. Cette orientation s’est basée sur une concertation d’expert et une grande consultation citoyenne desquelles ont émergé les enjeux futurs pour une alimentation saine et durable, un approvisionnement local en circuit-court, une sensibilisation à une alimentation responsable, une solidarité du champ à l’assiette. C’est très précisément dans ce cadre que le projet « De la Terre à l’Assiette » s’est positionné. Il a pour double ambition : - Concevoir les repas à destination de la restauration collective scolaire basés sur un choix d’un approvisionnement fait à 100% en produits Bio et locaux, en favorisant le « fait maison » et en intégrant un dispositif de lutte contre le gaspillage alimentaire ; - Répondre au besoin de qualification de main d'œuvre dans les métiers de l'hôtellerie/restauration en tension sur le Département en favorisant l'insertion sociale et professionnelle des publics les plus fragiles. Pour cela, 2 structures ont été créées sur le territoire de la Communauté de Communes(une entreprise d'insertion et un chantier d'insertion professionnelle) dont l’activité permettra de commercialiser et développer un service de restauration scolaire sous la forme d’une SCIC (associant les collectivités territoriales).

Animation coordination de la plateforme d’approvisionnement locale de la restauration collective brenne /castelroussin

La création de l’association répond à une volonté des producteurs locaux, manifestée dès 2010, de relocaliser l’alimentation. Après différentes actions menées en ce sens entre 2010 et 2014, le problème de la logistique était toujours prégnant. C’est pourquoi une étude de faisabilité a été lancée en 2015 et 2016. L’association Cagette et Fourchette soutient une alimentation de proximité et de qualité. Elle fait le lien entre producteurs et restaurateurs, associations et restauration collective. Son fonctionnement est simple: 1) les «clients» sélectionnent leurs produits sur le catalogue en ligne via le site www.cagette-et-fourchette.fr, 2) ils passent leur commande via le site en respectant les délais de commande de chaque produit, 3) ils sont livrés une fois par semaine pour l’ensemble de leur produit, 4) ils reçoivent une facture unique pour l’ensemble des produits commandés. Pour les producteurs, ils déposent les différentes commandes sur un point de massification, la coordinatrice de cagette et fourchette récupère les produits, et préparent les commandes de chaque client puis assure la livraison par camion frigorifique selon un planning de tournées optimisés. En 2019, il y a une trentaine de producteurs adhérents et autant de sites de restauration collective. Pour cette année, les missions de l’association sont les suivantes : -poursuivre le travail de mise en lien entre producteurs et cuisiniers de la restauration collective ; -étoffer la liste des producteurs locaux pour diversifier les produits disponibles ; -développer les sites de restauration collective adhérents et ouvrir aux restaurateurs traditionnels ; -valoriser la démarche afin de mettre en avant les productions, les producteurs et les sites adhérents ; -être support et soutien d’autres territoires pour permettre l’essaimage du projet ou d’autres expérimentations ayant la même visée.

Université des sciences et pratiques gastronomiques

Le territoire du Cap Sizun, à travers sa diversité et sa richesse dans les domaines tant maritimes qu’agricoles est apparu comme une évidence car de nombreux liens existent déjà entre ses professionnels et l’Alliance Slow Food des Cuisiniers. La valorisation des races locales, la lutte contre le brevetage du vivant, le soutien à la petite pêche locale, la sauvegarde de l’abeille noire en Cap Sizun sont autant de sujets et de réalités qui ont rapproché les cuisiniers de l’Alliance des producteurs, pêcheurs et transformateurs du sud Finistère. Les premières sessions de formation devraient voir le jour en 2021, mais une phase d’ingénierie de préfiguration est nécessaire pendant 2 ans, financée par LEADER et la Région Bretagne principalement. Durant cette période, l’association USPG doit définir son projet selon 4 axes : - Des formations alternatives : expérimenter un nouvel accès à la cuisine, croiser les savoirs empiriques et universitaires ; bâtir les programmes pédagogiques ; - Des partenariats multiples : fédérer les acteurs locaux autour du projet, s’appuyer sur les réflexions de Slow Food international ; - Une vie économique et sociale autour des ateliers Jean Moulin : créer des liens avec les autres porteurs de projets du site (bistrot, magasin de producteurs…) ; - Des programmes de recherche et de développement en lien avec les questions que les cuisiniers se posent. Le projet d’Université à Plouhinec s’inscrit dans une réalité locale mais aussi dans une attente internationale car Slow Food est présent dans 150 pays et fort de 100 000 membres très attentifs à cette initiative française considérée comme pionnière, expérimentale et capable de faire école ailleurs dans le monde. L'université des sciences et des pratiques gastronomiques proposera un outil de formation unique en Bretagne et en France. Il vise à créer une nouvelle façon d'aborder le métier de cuisinier et le secteur de la restauration (valoriser le métier, repenser l'approvisionnement, le lien avec le consommateur-citoyen, le lien avec le territoire ...) Le projet contribuera à la transition de la profession dans ses dimensions environnementales et sociales. L'université des sciences et des pratiques gastronomiques axera son enseignement sur les connaissances agronomiques, climatiques, culturelles, socio-économiques et le rapport au territoire.

Guide pour porteur de projet en circuits-courts

Le contenu du guide sera majoritairement des éléments techniques synthétiques pour orienter la réflexion dans le cadre des études de marché des porteurs de projets en circuit-court. Il s’adresse à un public déjà averti et sensibilisé aux circuits-courts. Le guide doit rester très court et factuel, donner des chiffres utiles pour l’élaboration d’un projet de diversification en circuit-court sans trop s’appesantir sur le cadre global. Le but de ce guide est d’orienter les agriculteurs dans le choix de circuit-court qui leur correspondent le mieux. Pour cela, leur donner des clefs pour que les projets soient les plus réussis possibles et les motiver à travailler en collaboration entre eux en leur soulignant les intérêts qu’ils peuvent retirer à travailler ensemble. Ce guide serait également un outil pour le comité de programmation, lui permettant de mieux juger de la pertinence économique d’un projet qui lui est présenté et de vérifier si les conseils techniques ont été pris en considération. Il permettra ainsi l’amélioration de la qualité des projets en circuits-courts en Seine-Aval mais aussi l’identification des potentialités du territoire pour la valorisation des productions locales.

Cand’épicerie

Après avoir visité 3 épiceries associatives dans de petits villages, la décision a été prise de se lancer dans un projet associatif. L'association Cand'épicerie a ainsi été créée le 21 décembre 2018 afin de porter le projet et de faire vivre l'épicerie. Cand'épicerie a permis de maintenir un commerce de proximité sur la commune qui propose notamment des produits locaux. Véritable lieu de lien social, l'épicerie a permis de redynamiser le centre-bourg. Public cible : - Habitants - Touristes